Natacha Romanovsky

Texte de fin de recherche

Umwelt (mais pourquoi et comment l’humain?)
Recherche à L’L
mars 2015 – juillet 2020


Recherche terminée

© D.R.
(sans titre)

Cette première recherche à L’L prend pour premier point de départ l’ouvrage du scientifique et penseur Théodore Monod, Et si l’aventure humaine devait échouer, qui s’interroge sur la nocivité de l’espèce humaine actuelle quant au devenir de la planète.

Pour une exploration plurielle de la notion d’anthropocentrisme, du rapport à notre propre corps, aux potentialités incroyables et méconnues de celui-ci, de la nécessité d’un état plus organique, de notre état d’animal loin de la nature et… un peu aussi de la physique quantique. Et aux liens inextricables entre ces différents paramètres…

Biographie

Parcours à L'L

Suite à un dépôt de candidature, Natacha Romanovsky entre à L’L et entame une première recherche en mars 2015, avec comme point de départ l’ouvrage de Théodore Monod, Et si l’aventure humaine devait échouer. Cette recherche se termine en juillet 2020.

Née à Bruxelles en 1974. Elle fait deux années d’Arts plastiques (Institut Saint-Luc et Le 75-Bruxelles) puis une licence en Histoire de l’Art des peuples non-européens (ULB) avant de bifurquer vers les arts du cirque (Carampa-Madrid et Espace Catastrophe-Bruxelles). Suite à cela, en 2003, elle co-crée, avec la danseuse Glenda Giacco, la Cie Les ExtraThérèses, qui ira à la rencontre des publics de la rue. Elle se dirige ensuite vers le monde de la danse impro et contact. Formée entre autres par Julyen Hamilton, Andrew Harwood, Kirstie Simson, Jordi L. Vidal ou Vera Mantero, elle part s’installer à Rome et collabore au collectif Improbabilon (2006)

 

Sa passion pour les voyages et l’aventure, et son attirance pour les océans l’amènent à entrecouper son parcours artistique de nombreuses explorations aux cinq coins du globe. Ces pérégrinations la portent à s’interroger sur les différentes manières d’appréhender le monde, sur le rapport au corps et à la nature.

Ayant l’envie de mettre en scène et de travailler avec des comédiens, elle suit à Paris le cursus du Cours Florent (2008-2011) où elle aborde le travail de la parole. Elle fonde alors la Cie Container où elle explore avec de jeunes comédiens le travail corporel, le ridicule et le droit à un corps non-formaté. Il en résulte un premier spectacle : Funeral Party.

En 2014, elle collabore au projet Gueules de scènes de la photographe Fabienne Wrobel.

© Pierre Liebaert