Eric Arnal Burtschy

Parcours à L'L

Sur une suggestion de José Alfarroba, alors directeur du Théâtre de Vanves, Eric Arnal Burtschy est entré à L’L fin 2012.

Eric Arnal Burtschy suit un cursus universitaire à la Sorbonne (licence d’histoire, licence de philosophie, master I en géopolitique, master 2 en études européennes sur l’émergence d’une diplomatie européenne) avant de s’orienter vers les arts vivants et visuels. Domaines dans lesquels il se forme par des cours et ateliers, ainsi qu’à travers une résidence de recherche sur deux ans à micadanses à Paris, qui génère une série de collaborations et de pièces d’étude. En parallèle, il débute un travail d’interprète.
En 2008, il crée BC Pertendo, structure dédiée à l’exploration et à la production des arts vivants et visuels, développe un game art à l’articulation de l’action collective et des choix individuels, puis présente With some White, qui s’attache à la plénitude et à l’esthétique présente dans la répétition du geste manuel afin de développer un espace fictionnel.

De 2011 à 2013, Eric Arnal Burtschy présente le projet Bouncing Universe in a Bulk, travail sur le vide et l’infini composé de deux volets, Human Landscape et The Sky. À cette occasion, il a été accueilli en résidence au Centquatre, au Centre national de la danse, à l’Atelier de Paris Carolyn Carlson, au Parc de la Villette et au festival Antigel de Genève, le projet étant soutenu par le Théâtre de Vanves, la DRAC (Ministère de la culture), l’ADAMI, Arcadi et le Théâtre Paris Villette.
En 2012, désireux d’explorer un autre rapport au monde et toujours intéressé par les questions diplomatiques et stratégiques, il devient, en parallèle, officier de réserve spécialiste d’Etat-major, poste pour lequel il suit une formation à l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr. La même année, il est invité en tant que créateur par l’OFQJ au Festival Transamériques de Montréal et est lauréat de la fondation Marcel Bleustein-Blanchet.

Recherche terminée

© L’L

Deep are the woods

Deep are the Woods propose une connexion à la nature et à l’univers à travers l’expérience d’un rapport physique à la lumière. Le mouvement de ses rayons donne corps au vide et l’habite d’une présence intangible. C’est une cathédrale sans murs dont on n’aurait gardé que la vibration intérieure, une invitation à prolonger par l’immatériel notre perception du monde.